Mais d’où vient le Shadow Data ?

Imaginez que malgré tous les efforts menés par les organisations pour centraliser, organiser, cataloguer, et exploiter les données, une part significative échappe à toute « gouvernance ». On appelle cela le Shadow Data.

Alors d’où vient t’il ?!?

Et bien principalement des métiers qui, loin de vouloir mettre le bazar dans cette gestion organisée de la donnée, se voient contraints de produire leurs propres données en dehors des applicatifs du SI dont ils disposent.

Leurs armes ? Les tableurs ! Excel, Google Sheet et les autres.

Et le phénomène Shadow data est d’ampleur.

Pour preuve, PwC a mené une enquête auprès de professionnels de la finance et a constaté que plus de 90% d’entre eux utilisent Excel pour des tâches telles que la modélisation financière, l’analyse des coûts et la création de tableaux de bord.

De son côté Deloitte a publié une étude qui met en évidence l’importance d’Excel dans le contrôle de gestion. Près de 70% des entreprises interrogées ont déclaré utiliser Excel pour la budgétisation, la prévision et l’analyse de rentabilité.

Mais que peut-on reprocher à ces tableurs s’ils sont si indispensables ?

Et bien la liste des risques est des impacts est vertigineuse :

  • Erreurs de traitements
  • Retards et pertes de temps de traitements
  • Manque d’analyses avancées,
  • Difficulté du travail en équipe,
  • Défaut d’historisation
  • Risque de perte d’information

Je vous avais dit … la liste est longue.

Et quand on sait que des budgets colossaux sont gérés de cette manière.

De nombreuses entreprises ont eu à subir les conséquences de simples erreurs Excel pourtant a priori facilement décelables et évitables.

Deloitte nous liste quelques exemples :

  • Une erreur d’addition a obligé Mark & Spencer à publier le jour même un rectificatif de ses résultats trimestriels,
  • Une erreur dans le calcul d’une moyenne a fait perdre 250M£ à JP Morgan,
  • Le comité d’organisation des JO de Londres en 2012 a vendu deux fois plus de tickets que de places disponibles à cause d’une erreur d’input,
  • Lazard a sous-estimé de 400M€ la valeur de son client lors d’une opération M&A à cause d’un doublon, etc.

Il est temps de régler définitivement le problème vous ne croyez pas ?

Et si nous arrivions à sécuriser TOUS les traitements !

C’est EXACTEMENT ce que propose Orkestra-data 🤩